Toiles sur toile ! > Dorian Gray
jeudi 23 juin 2016 | 20h30
Cinéma LUX
Toiles sur toile ! Peinture et cinéma
Avec la complicité de MaCaO 7e Art dans le cadre de son cycle «Toiles sur toile ! Peinture et cinéma».
Projection suivie d’une rencontre avec Youri DESCHAMPS, rédacteur en chef de la revue Eclipses, critique de cinéma et conférencier, qui se charge de replacer chaque film dans son contexte historique et esthétique, de nous rappeler le travail d’auteurs qui ont uvré pour la création cinématographique et de confronter le film à la lumière du thème choisi.
Jeudi 16 juin | 20h30 | Cinéma LUX
La Vie passionnée de Vincent Van Gogh
DE VINCENTE MINNELLI, GEORGE CUKOR, AMERICAIN (VOSTF), 1956-2H02. AVEC KIRK DOUGLAS, ANTHONY QUINN, JAMES DONALD.
1878. Vincent Van Gogh arrive en Belgique pour se rendre ensuite en Provence où Gauguin le rejoint. Après le départ de ce dernier, Van Gogh se coupe une oreille et se fait interner dans un asile… «Lorsque Vincente Minnelli, l’un des plus grands coloristes du cinéma, met en scène la vie du plus grand coloriste de l’histoire de la peinture, Vincent Van Gogh, il réalise une oeuvre syncrétique sur son travail autour de la couleur et de la peinture, et signe de surcroît son film préféré.» (Les Inrockuptibles)
Jeudi 23 juin | 20h30 | Cinéma LUX
Le Portrait de Dorian Gray
DE ALBERT LEWIN, AMERICAIN (VOSTF), 1945-1H51. AVEC ANGELA LANSBURY, DONNA REED, PETER LAWFORD.
A Londres, en 1866, Basil Hallward peint le portrait d’un séduisant jeune homme, Dorian Gray. Ce dernier s’amourache de Sybil Vane, une chanteuse de cabaret, mais les conventions rigides de son milieu le font rompre et elle se suicide. En rentrant chez lui, il trouve que son portrait a une expression plus dure, presque cruelle.
«L’atmosphère de corruption londonienne va aussi loin que la censure de l’époque le permet; George Sanders est impeccable en lord pousse-au-vice, et Hurd Hatfield, dans le rôle de sa vie, voit les sévices marquer son portrait en Technicolor dans ce film en noir et blanc, alors que son propre visage reste lisse…» (zurban)