Trilogie Pusher

Trilogie Pusher

Amphi Daure (Université de Caen – Campus 1)

Soirées programmées dans le cadre du Festival « Les Boréales, un festival en Nord ».

La sortie de Pusher en 1996 au Danemark a été un vrai phénomène national qui a incité son réalisateur, Nicolas Winding Refn (Bronson), à tourner la suite en 2004 et 2005. Trois opus noirs et ultra réalistes, dans la droite ligne des premiers films de Martin Scorsese. Une découverte à ne pas manquer.

Attention ! Nous avons été contraints de modifier les horaires de ce rendez-vous. Cette trilogie sera donc diffusée sur 2 soirées contrairement a ce qui est annoncé dans le programme des Boréales.

Jeudi 12 novembre

20h00 : Pusher (1996 – 1h45)

Dealer d’héroïne, Frank s’endette auprès de Milo suite à un sale coup. En grave danger, il décide de monter une ultime arnaque avant de quitter le pays…

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22h00 : Pusher II : Du sang sur les mains(2004 – 1h36)

Fraîchement sorti de prison, Tonny retourne auprès de son père dit « Le Duc », le parrain de la mafia locale, et enchaîne les plans : dope, braquage de voitures… Mais, fougueux et incontrôlable, il devient vite la cible du milieu.

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Mardi 24 novembre

20h00 : Europa de Lars von Trier (1990-1h50)

Proposé dans le cadre d’une trilogie consacrée à Lars von Trier

22h00 : Pusher III : L’ange de la mort (2005 – 1h42)

Alors qu’il attend une livraison d’héroïne, Milo reçoit des pilules d’extasy. Il en confie la revente à un jeune dealer qui disparaît avec la marchandise. La vengeance de Milo sera d’une violence insoutenable.

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 » Les trois films nous plongent dans l’univers du commerce de la drogue, en compagnie de ceux qui en vivent (et en meurent) au Danemark. Les scénarios sont réduits à l’essentiel, à une variation sur un même thème (un dealer, embringué dans un plan foireux, à la vie privée elle-même tout aussi compliquée, tente de s’en sortir tant bien que mal), la psychologie réduite au minimum, l’humanité à ses plus bas instincts, et le filmage consiste essentiellement à suivre les personnages principaux dans leurs déambulations, dans leurs bagarres, leur marasme, leurs aspirations (au sens propre comme au figuré), dans leurs emmerdes. Et Dieu sait s’ils en ont. C’est sans doute ce qui fait la force de ces trois films : leur côté brut, sans fioriture, droit à l’estomac.  » (DVDrama)