Lumières d’été

Jean-Gabriel Périot

  • 2017
  • 1h23

A Hiroshima, une survivante de la bombe atomique, évoque pour la télévision le souvenir de sa sœur aînée, une jeune infirmière disparue omniprésente dans ses souvenirs. Le réalisateur – Akihiro, un Japonais basé à Paris – bouleversé fait la rencontre d’une énigmatique Japonaise. Ils parcourent ensemble les rues d’Hiroshima et s’enfoncent dans les profondeurs d’un récit qui déborde les frontières entre le présent et l’histoire, le réel et le fantastique.

«Jean- Gabriel Périot (Une jeunesse allemande) nous offre ici une histoire délicate, triste, pleine de poésie et de quelques fantômes mais qui laisse encore place à l’espoir. «À mesure que le film se déroule, nous entrons dans les rêves, les traditions et la poésie. Un voyage en train impromptu nous emmène en compagnie des personnages dans une bulle de tendresse comme sait les créer Kore-eda. Ces gracieuses références japonaises qui se manifestent dans Lumières d’été démontrent la grande justesse du projet de Périot, qui ne vient pas en simple copiste du cinéma de ce pays mais est véritablement habité par sa sensibilité à tous les niveaux de sa mise en scène, de sa direction d’acteurs.» (Accreds.com)

Ce film est soutenu par le GNCR (Groupement National des Cinémas de Recherche)